L’actuel patron de Mercedes, Toto Wolff, a déclaré que ses chances de pouvoir diriger la Formule 1 ont été réduites à néant à cause du droit de veto dont dispose Ferrari.
S’exprimant après la nomination de Stefano Domenicali, Wolff a reconnu avoir eu des discussions avancées avec Greg Maffei, le directeur général de Liberty Media et bras droit de Chase Carey.
Ces pourparlers n’ont pu aboutir à cause de l’intervention de Ferrari qui ne voit pas d’un très bon œil la possibilité que la Formule 1 soit dirigée par le copropriétaire de son principal rival.
Toto Wolff :
Je pense que tout le monde est au courant qu’il y a eu des discussions avec Greg Maffei qui n’ont jamais pu aboutir.
Mais au final, ce n’est pas un problème, car je suis passionné par ce que je fais et j’ai la chance de diriger une équipe comme Mercedes et d’en être le copropriétaire.
Je me rends compte que finalement cela n’aurait jamais pu arriver, car Ferrari n’est absolument pas d’accord avec cette idée.
Ils ont ce droit qui permet de tout faire, et lorsque vous avez cela, tout est très facile.
Mais je respecte absolument ce choix, car en pareilles circonstances, j’aurais probablement eu la même idée en tête.
Je suis content qu’ils aient choisi Stefano, car Il est doté d’une grande personnalité, d’une grande intégrité et d’une grande connaissance du sport.
C’est donc un très bon choix pour ce poste.
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