Alors qu’un verdict sera prononcé ce vendredi concernant la légalité des écopes de freins utilisées sur les monoplaces de Racing Point, Toto Wolff, patron de l’écurie Mercedes, a décidé de donner son point de vue sur cette affaire.
L’Autrichien estime que Renault agit dans cette histoire, non pas par principe comme l’a affirmé son dirigeant Cyril Abiteboul, mais plutôt par dépit, mettant l’accent sur le fait que l’écurie française n’a jamais réussi comme Mercedes, Ferrari ou encore Red Bull, à établir un « partenariat stratégique » avec une autre écurie.
Celui qui perdra la contestation fera appel et ensuite, le cas sera porté devant les tribunaux et ce n’est qu’ensuite que la situation sera clarifiée.
Je peux comprendre qu’une équipe proteste afin de faire la lumière sur certaines choses.
Les dirigeants de Renault disent qu’ils font cela par principe, mais en vérité, ils sont mécontents du fait que Racing Point a autant de points au championnat des constructeurs.
Depuis plusieurs années, les plus grosses équipes gagnent beaucoup d’argent en faisant avancer les plus petites. Dans cette situation tout le monde est gagnant.
Mais encore faut-il établir des alliances stratégiques, ce qui est très important dans la Formule 1 moderne. C’est ce que nous avons fait alors que Renault est restée en stand-by.
F1 news